Marina Gliget-Bordessoulle

Fonction:
Rédactrice - Journaliste

MarinaPassionnée de littérature, cavalière lorsque le lui permet son emploi du temps et amoureuse de l’océan et de ses caprices, c’est tout naturellement qu’après – et même pendant - des études à vocation littéraire et culturelle, Marina Gliget-Bordessoulle s’est orientée vers l’écriture, conservant toujours cette activité en parallèle de ses différentes expériences professionnelles.

Bordelaise depuis quelques années, attirée par les pays baignés de soleil et de lumière méridionale, elle organise son temps entre ses activités professionnelles de rédaction et son goût pour l’océan, près duquel elle se ressource fréquemment.

Enthousiaste, c’est avec élan que Marina a rejoint l’aventure d’AquitaineOnLine.

Pour mieux faire connaissance ....

Mot préféré ?

Escale. Un mot qui m’évoque le plaisir du départ et l’arrivée dans un lieu inconnu, une lumière poudrée, un air chaud et parfumé.

Ma drogue favorite ?

L’océan. Les côtes sauvages, les camaïeux de gris et de bleu. Le mélange du vent, de la roche humide, des embruns et des mouettes. Dans mon cas, une condition sine qua non pour vivre bien !

Mon objet inséparable ?

Un couteau de poche, indispensable quand on a grandi à la campagne, entre terre et mer. Et si j’ai un joker pour en citer un deuxième, un carnet qui ne quitte jamais mon sac.

Ce que je déteste par-dessus tout ?

Le métro à l’heure de pointe.

Mon livre de chevet

Difficile d’en choisir un seul. La promesse de l’aube, de Romain Gary ou Le tour du Malheur de Joseph Kessel. Deux véritables réservoirs d’énergie dans lesquels puiser lorsque les temps sont plus maussades.

Le son, le bruit que je préfère ?

Celui de l’océan, le bruit incessant du ressac.

Mon juron, gros mot ou blasphème favori ?

Bordel (en le disant avec un minimum de foi et de dynamisme). Un mot à la fois terrien et chaleureux.

Homme ou femme qui symbolise la Nouvelle-Aquitaine

Aliénor.

La Nouvelle-Aquitaine c'est où ?

Un territoire qui s’étend le long de l’Atlantique et s’enfonce dans les terres. C’est un endroit qui sent la résine, la fougère et la mousse humide en automne.

Le lieu où l'on ne risque pas de me trouver ?

Faisant du saut en parachute, en deltaplane ou essayant n’importe quel sport qui suppose de l’altitude et du vide en dessous…

Ma cuisine gasconne et son accompagnement

Une salade landaise ou une garbure pour les rudes journées d’hiver.

Si la Nouvelle-Aquitaine était une couleur ?

Entre le doré des dunes et le vert profond de la Haute Lande.

Si la Nouvelle-Aquitaine était un sport ?

Pour moi, l’équitation. Une terre de cavaliers qui parcourent les sablonneuses pistes forestières de la Haute-Lande.

La Nouvelle-Aquitaine demain ?

Une région très touristique, bientôt toute proche de Paris.

 Ma devise ?

« L’humour est une déclaration de dignité, une affirmation de la suprématie de l’homme sur ce qui lui arrive » – Romain Gary